Harry Potter en transylavanie: Première partie (chap 1-2-3)

Voilà, bonne lecture... ^^



Disclaimer :

Pas de droits à déclarer, vous pouvez mettre cette fic où vous, voulez, sans me prévenir, mais mettez quand même le nom de l’auteur, en l’occurrence… moi !

Cette histoire est à d-é-g-u-s-t-e-r ! Faîtes vous plaisir, n’hésitez surtout PAS !

SI vous avez des musiques Moyenâgeuses, n’hésitez pas à les mettre en fond !

Et si vous êtes fanna des mythologies Transylvaniennes, cette histoire est POUR VOUS !

Allez, bonne lecture…

Juillet. Vacances déplorables. Harry en avait assez. Dumbledore mort, Hedwige gravement malade, aucun contact de ses amis depuis plusieurs mois, il devait se faire à l’idée que il était seul… Et les Dursleys, à leur habitude, ne manifestaient pas plus d’attention à Harry que s’il avait été un pan de Mur. Harry devant attendre son 17ème anniversaire pour quitter définitivement les Dursleys.

- Allez, Hedwige, ne fais pas la têtue ! S’il te plaît ! Tu sais très bien que tu dois manger !

Harry essayait désespérément de donnait à Hedwige sa cuillérée quotidienne de nourriture. Mais elle était malade, Harry s’en rendait bien compte. Ses ailes étaient tordues, son bec refusait de s’ouvrir, et Harry était obligé de lui faire avaler de force sa viande. La malheureuse chouette avait perdu de son teint blanc et majestueux et ses poils étaient ébouriffés, désordonnés. Ses yeux si beaux auparavant étaient mal en point. Lorsque Hagrid le lui avait offert sa chouette, elle devait avoir à peu près 2 ans. Ce qui lui faisait 8 ans. Une chouette, d’après les souvenirs lointains de Harry lorsqu’il était en école moldue, vivait environ 20 ans.

C’est ma seule amie, ici. Je ne me pardonnerai jamais de la perdre.

Le projet de Harry de ne pas aller en 7ème année mais de partir à la recherche du vil Jedusor s’estompait depuis que Hedwige était malade. Il n’avait plus de contact avec l’extérieur, puisqu’il ne pouvait plus envoyer de lettres. Il devait attendre qu’un hibou lui parvienne pour répondre à son destinataire, ou pire, donner au hibou un travail supplémentaire.

Le ciel devait être ami avec Harry, car, un jour avant son anniversaire, Coq, le hibou de Ron, se cogna à la vitre de sa chambre. Le malheureux s’était assommé. Harry ramassa le minuscule oiseau, évanoui sur le rebord de la fenêtre, tel une balle de tennis. Si Hedwige n’était pas aussi mourante, et si la sixième année à Poudlard ne s’était pas terminée ainsi, il aurait ri. Il prit la lettre, qui, heureusement, n’était pas tombée au sol de la rue lorsque l’hibou s’était cogné, et lut son contenu.

Harry,

Salut ! Comment te portes tu ? Moi, SUPER ! Nous avons l’intention de partir en Transylvanie en Août Hermione est du voyage, et, bien entendu, nous ne t’avons pas oublié. Donc si tu es d’accord, c’est la semaine prochaine que nous partons. Je t’ai envoyé une encyclopédie de la Transylvanie, que j’ai du réduire à cause de Coq… Mais je pense qu’un petit sortilège d’agrandissement ne sera plus illégal après demain, puisque tu seras MAJEUR ! 17 ans ! Ce n’est pas magnifique ? Agrandis donc cette encyclo après demain et dis moi en des nouvelles ! TU verras, c’est fascinant!

N’ayant pas eu de tes nouvelles depuis un bon moment, je te raconterai plein de trucs dans une semaine !

Et de toute façon, les Moldus qui te servent de famille n’ont pas à s’opposer à toi car tu seras majeur ! Sors leur ça au nez, et tu verras !

Allez, à la semaine prochaine. (J’espère !)

Ton Ami,

Ron

Un cri déchira le silence de l’après midi. Hedwige se tortillait dans tous les sens. Des spasmes.

Harry sentit son cœur s’accélérer.

Non… Pas maintenant… Je ne suis pas près ! Non…

Puis, le silence. Hedwige ne bougeait plus. Elle avait les yeux fermés. Harry s’approcha. IL fut un peu soulagé. Elle respirait encore. Coq s’était réveillé. Il avait à la patte un livre de poche… Qui n’en était pas un. L fameuse encyclopédie… Que Harry ne pourrait lire que le surlendemain. Il prit un crayon, et écrivit une réponse à Ron.

Ron,

Hedwige est mourante. Voilà pourquoi je ne vous ai pas envoyé de nouvelles. Je ne suis pas d’humeur à voyager. Je ne suis pas prêt à perdre mon amie. Je pense que je ne viendrai pas. Sauf si tu as un remède… Mais ça m‘étonnerai… Tu me comprends. Mes salutations à Hermione…

Harry allait signer sa lettre, lorsque il se souvint d’un livre qu’il avait dans sa cachette sous le parquet qui parlait des hiboux. Il ouvrit la lame de parquet et sortit celui-ci.

Hiboux et Chouettes Magiques : Un Savoir Faire.

Il l’ouvrit.

Symbole de la sagesse, les hiboux sont souvent apparentés à Athéna, la déesse Grecque de la guerre. Mais des anciens documents certifient que Hermès avait recours à cette forme pour ce métamorphoser, d’où la manière que nous avons d’utiliser ces volatiles pour envoyer des messages.

Ce vous permettre de vous occuper soigneusement d’une chouette ou d’un hibou, et vous permettre peut être de le sauver de mains dangers.

Sommaire :

P.12 : Les Races

P.105 : Les Symptômes

P.200 : La Mythologie

P.225 : Pathologie

P.287 : Nourriture

P.304 : Petits

P.402 : La Grystésie

P.547 : Le Mot de l’Auteur

Harry sauta à la page 105, les symptômes.

Cette page vous permettra de vous situer par rapport aux différents symptômes que votre chouette ou votre hibou peut être atteint.

Mauvaise haleine, peu rapide, …

Harry trouva les symptômes qui concordaient avec ceux d’Hedwige. IL se félicita de s’être souvenu de ce livre, mais il attendait la suite…

Le Syndrome de Frankenstein :

Votre hibou a été gravement mordu par des Malandas. Ces créatures, sont au nombre de six actuellement sur la planète. Elles auraient été crées par le docteur Victor Frankenstein, qui créa ces viles monstres dans l’espoir de donner une protection supplémentaire à son château. Mais la mythologie n’est pas fiable. Ces créatures, très rares, injectent un venin qui paralyse les nerfs optiques, réduisant les pupilles, et ensorcellent la peau qui devient au fur et à mesure gris. Enfin, la longévité de l’animal se réduit de jour en jour. On estime que en un jour, l’animal perd 2 ans de sa vie. Il peut mourir du jour au lendemain.

Le remède :

On aurait retrouvé, selon la légende, en 1903, des notes qui auraient été faites de la main de Frankenstein, et qui relatent un remède sur celles-ci. Mais encore, l’écriture semble être celle d’un fanatique…

Le remède est donc très improbable, puisqu’il est dit que seul le sang de Dracula injecté lors du premier rayon de pleine lune guérira l’animal…

Dracula étant mort selon la légende, il est impossible que l’oiseau retrouve sa forme. Mais essayer de trouver Dracula ne peut s’avérer qu’Apocalyptique pour la terre… Ce démon, vaincu en 1856, a juré de se venger avant de rejoindre définitivement l’Enfer.

Le remède est donc sans espoir…

Et ce remède n’explique pas ce qui se passera si vous donnez à votre hibou du sang de Dracula. IL s’agit de toutes les victimes réunies en un seul sang. Une magie unique pour un vampire. En science moldue, ce sang est un mélange de plein d’autres.

En magie, ce sang symbolise toutes les victimes que Dracula a vidé de leurs sang… Il se peut que des effets secondaires apparaissent chez votre hibou, mais il faut déjà que vous réussissiez à trouver Dracula, ce qui est déconseillé même si ce n’est qu’une vieille légende Transylvanienne.

Il se peut, donc, que votre hibou devienne un vampire, se nourrissant du sang des autres. Mais ce cas est quasi improbable, puisque le Hibou, selon la légende, est la branche contraire à la chauve souris.

Harry ferma le livre avec rage. Quelle étrange coïncidence ! La Transylvanie lui était la seule destinée pour sauver Hedwige, et Ron se proposait avant même de le savoir de l’y emmener !

Il avait déjà Voldemort sur le dos, qui était un serpent, il n’avait pas envie de faire joujou avec une chauve souris !

Mais Hedwige était son seul bonheur, à Privet Drive. Il retrouverait Dracula s’il le fallait, et donnerait de son sang à Hedwige.

Mais Harry le savait, il était peu sûr de réussir à sauver Hedwige. Mais il était prêt à tout. Il répondit à

Ron que c’était d’accord. Il fêta seul ses dix sept ans, les cadeaux habituels lui remontant le moral légèrement. Le jour de ses dix sept ans, un événement étrange se produisit. Une sensation d’impuissance envahit soudain Harry, comme s’il était en dehors de Poudlard ou loin d’ici…

En danger. Il se souvint alors que Dumbledore lui avait dit que la protection magique de sa mère s’achèverait à dix sept ans. Le soir même, Harry alla voir les Dursleys, et leur dit ces mots :

- J’ai 17 ans. Vous n’êtes plus mon Oncle, ni ma Tante, maintenant. Vous m’avez maltraité, je vous ai supporté. Maintenant, je suis assez mûr pour prendre mes décisions. Je pars en Transylvanie, la semaine prochaine. L’année prochaine, je vais m’installer dans la maison de mon Parrain. A partir de la semaine prochaine, se sont des Adieux que nous nous ferons.

Puis, il remonta dans sa chambre. C’était un devoir.

Enfin, la semaine passa. Ron arriva par la voie moldue, en voiture. Harry l’attendait dehors, avec toutes ses affaires, Hedwige enveloppée dans une couverture, posée sur l’épaule de Harry.

Arthur Weasley étant monté en poste, il avait eu droit facilement à des voitures.

La voiture garée à l’angle de la rue, Harry s’avança, et la personne qu’il vit descendre de la voiture le fit s’arrêter sur place.

A SUIVRE !

A l’avenir, les fics seront environ 2x plus longues…
(à suivre:
Un personnage inatendu pardonné;
Un(e) traître;
Une voiture spéciale;
...)