histoire futuriste

Voilà une ptite histoire que j'ai commencé à écrire il y a pas mal de temps. ça se passe dans le futur ! Je vous met que le debut pour l'instant. Dites moi comment vous la trouvez !

14 février 3046

-ho là petite ! On s’en r’met ?

Une poigne rude lui secoua l’épaule, la sortant de son inconscience. Relevant la tete que jusque là elle maintenait face contre terre, elle aperçut à quelque centimètre de son visage, le visage d’un vieille homme au nez rougis par le froid ; ses cheveux poivre et sel couvert d’un bonnet gris. Elle voyait ses lèvres bougeaient mais n’entendait rien de ses paroles. Toujours sourde des bruits alentours elle vit le vieil homme se retournait vers les personnes qu’elle apercevait derrière lui « la pauvre fille à l’air sourde…sur’ment à cause de l’explosion »
Sa vue était trouble et elle distinguait mal ce qui se passait autour d’elle. De ses poings elle se frotta les yeux et eut enfin une vue nette. Elle aperçut alors la neige qui tombait sur le sol. De ses mains ouvertes, tel une enfant elle ouvrit ses mains pour l’attraper. A sa plus grande surprise, la neige n’était pas froide. Ce n’était pas des flocons qui tombaient, mais une pluie de cendre. Tout d’un coup elle se boucha les oreilles, l’ouie lui était revenue, et le vacarme était tel qu’elle cru que ses tympans avaient crevé. Elle se retourna brusquement. Elle ne s’était pas trompé ce qu’elle entendait été bien le bruit du feu. Un feu énorme qui montait jusqu’au ciel, un feu d’où s’élevait une fumée d’un noir de jais, un feu dévastateur… elle n’avait jamais vue pareille spectacle d’horreur. La chaleur de l’incendie lui parvenait tel le souffle brûlant d’un dragon. Aussi loin qu’elle put regarder, tout n’était que désolation. Sur le sol jonché de cendres, des bosses étranges, et d’une de ses bosses, une main… Une main aux doigts crispés, aux ongles vernis. Elle ouvrit la bouche démesurément mais aucun son ne sortit. Elle n’entendait, ne voyait plus rien, le regard fixé sur cette main qui se trouvait à quelques mètres d’elle. D’un regard fou, elle considéra les nombreuses formes qui jalonnaient le sol, découvrant toute l’horreur de la situation. Des pieds et des mains, elle essaya tant bien que mal de se relever, mais paniquée parce qu’elle venait de découvrir, elle n’arrivait à rien ; Il lui fallut l’aide des compagnons du vieillard pour qu’elle puisse tenir sur ses deux jambes.
- La pauvre petite n’en peut plus constata le vieil homme en voyant l’état de la jeune fille, emmenons là avec nous.
Il semblait diriger le groupe et personne ne contesta sa décision. Son autorité était naturelle, c’était un meneur né. Le groupe s’éloigna du sinistre, la jeune fille soutenue par deux compagnons. Le désastre ne se limitait pas à la grande bâtisse qu’elle avait aperçut, les rues elles aussi étaient en feu. Les étincelles sautaient de partout, brûlant le visage et les mains des rescapés. Le temps que duras le trajet dans les flammes et la fumée semblas durer une éternité. Elle ne savait même pas où ils l’emmenaient, et elle s’en préoccupait peu, concentré qu’elle était à ne pas ralentir le groupe en trébuchant à chaque pas. Elle était d’une extrême faiblesse et elle se demandait si elle ne s’évanouirait pas avant d’être arrivée à destination. La pluie de cendre tombait toujours, fouettant leurs visages, brouillant leurs vues. Un des hommes qui la soutenait la sentant faiblir, lui cria pour couvrir le bruit alentours « courage ! On est bientôt arrivé ! » Où donc l’emmenaient ils ? D’ailleurs où était elle ? Elle ne reconnaissait rien. Tant de questions se bousculaient dans sa tête, qu’elle en avait le tournis. Puis le supplice arriva à sa fin. Le vieil homme, les mains couvert de gants avait ouvert une lourde porte de fer, un long escalier semblait s’enfonçait dans le sol. L’homme qui lui avait parlé l’instant suivant la souleva dans ses bras et s’enfonça dans l’obscurité de l’escalier. La jeune fille pensa qu’ils ne tarderaient pas à tomber tant l’obscurité était profonde, mais le porteur devait connaître le chemin car pas une seul fois il ne vacilla. La porte s’était refermée derrière eux avec un bruit sinistre qui la fit trembler. Puis la lumière fut. Le groupe s’était arrêté dans une large pièce où le simple décor était des torches de bois accroché sur les murs de bétons. De nombreux lits garnissaient la salle, c’est d’ailleurs là qu’on la déposa. Avant de sombrer dans l’inconscience, elle se rendit compte qu’elle ne savait même plus son nom.

Trés bonne idée mais :

-Trop de fautes d'orthographes dommage

-Fais plus d'espace a chaque ligne sinon c'est lourd a lire

Lorilouz Bloody a écrit:

Voilà une ptite histoire que j'ai commencé à écrire il y a pas mal de temps. ça se passe dans le futur ! Je vous met que le debut pour l'instant. Dites moi comment vous la trouvez !

Le récit de Lorilouz corrigé par Zac

ses cheveux poivre et sel couverENt d’un bonnet gris. Elle voyait ses lèvres bougeaient[ses levres bougéES]

mais n’entendait rien de ses paroles. Toujours sourde des bruits alentours elle vit le vieil homme se retournait [RETOURNé ]



.

Oui a lot of fautes ! Ce sont celles qui reviennes le plus souvent

Si c'est bien "elle voyait ses lèvres bouger" et "Elle vit le vieil homme se retourner" car ch'sais plus si c'est ça mais quand il y a deux verbes dans la même phrase, qui se suivent ou pas, le second est à l'infinitif...Enfin j'en sais rien j'apprend jamais mes leçons de français --'

Bon je vous met la suite car j'imagine qu'avec le debut vous pouviez pas vraiment vous faire une idée de l'histoire

Ce fut le bruit de leur conversation qui la réveilla. Un énorme mal de tête lui enserrait tel un étau, les tempes. Le gémissement qu’elle avait émis en se levant fit tourner la tête des personnes présentes dans la salle.
- Ah on dirait que notre rescapée se réveille, s’exclama le vieil homme d’une voix bourru.
La jeune fille se leva et d’un pas chancelant se dirigea vers le siège qu’un des hommes lui présenté. Avec timidité elle prit la parole :
- merci beaucoup de votre aide,…mais qui êtes vous ? demanda elle.
- Je suis Jeannot le vieil ermite, puis désignant tour à tour ses compagnons, et voici Jonathan, Ben, David, Romain et Gontran !
Le dernier qu’il avait désigné, Gontran était celui qui l’avait porté dans les escaliers, elle lui adressa un sourire de remerciement. Puis voulant éclaircir les questions qui se bousculaient dans sa tête, elle continua son interrogatoire.
- Et où sommes nous ? Que s’est t’il passé ?
- Nous nous trouvons dans un ancien abri nucléaire qui se trouve sous terre. Quand a ce qui s’est passé en haut… les Kanzai ont réussi leur coup, voila tout !
- Les Kan… les Kanzai ? Mais qu’est ce que c’est ?
Les compagnons se regardèrent en haussant les sourcils, puis Jeannot partit d’un grand rire qui sembla faire trembler les murs, tandis que les autres la regardèrent avec perplexité.
- Mais d’où sors tu pour ne pas savoir qui sont les Kanzai ? Et puis d’abord quel est ton nom fillette ? demanda l’ermite.
- Je… je, puis éclatant en sanglot, je ne sais plus !
- Ouais, c’est le coup sur la tête ! La pauvre se souvient plus de rien, remarqua le vieil homme. A ta tenue tu devais travailler dans l’usine…
- L’usine ? Quelle usine ?
- Bah celle qu’a explosé pardi ! Tu l’as bien vu tout à l’heure. Eh bien les Kanzai l’on fait explosé !
- Mais pourquoi ? balbutia t’elle.
- Cette usine fournissait toute la terre en électricité… la plus grande usine qui est jamais existé ! Les Kanzai sont contre l’évolution, ce sont des anarchistes qui souhaitent revenir à une époque sans machine, électricité et tout le tralala ! Sans l’usine la terre n’a plus d’électricité, donc plus de machine, de voitures… plus rien ! Rien que les hommes et la terre… ce qui vient de se passer aujourd’hui, c’est la plus grande révolution qu’est jamais connu l’humanité ! c’est le début d’une ère nouvelle, petite !
Jeannot semblait être en extase devant cette perspective. Il s’était levé et avec de grand geste, il lui racontait les nombreux événements qui s’étaient déroulés depuis quelque jour : l’assassinat des savants, des principaux chefs de l’état et des partisans de l’évolution… Tout cela c’était passé tellement vite ! Il lui parla des combats qui s’étaient déroulés entre Kanzai et anti-Kanzai, c'est-à-dire les Moliak, de la terreur des populations devant tant de changement, bref c’était l’anarchie !
- Ils viennent d’atteindre leur dernier objectif ! dit Jeannot pour conclure.
- Et vous êtes pour quelle partie ? Leur demanda la jeune fille.
- Oh pour aucun ! Nous ne nous mêlons aucunement de politique ! Nous ce qu’on veut c’est survivre à cette époque de fou ! Quand l’incendie s’arrêtera, on migrera vers Paris pour voir comment tout ça va finir !
- Oh je pourrais venir avec vous ? supplia la jeune fille.
Jeannot regarda ses compagnons et ne voyant aucune protestation de leur part :
- Mouais… va falloir qu’on te trouve un nom ! j’peut pas continuer à t’appeler fillette… Eh si on t’appelait Eve ?
- Pourquoi Eve ? demanda t’elle
- Bah comme la première femme sur terre ! Eve… tu connais au moins ?
Puis devant l’air ahuri de la jeune fille, il s’exclama à l’adresse de ses compagnons « j’vous jure ces gosses ça connaît plus rien ! »

c'est très bien, mais, faudrait mettre plus de ponctuations ou, du moins, au bons endroits. ^^