Quand la poésie tourne au cauchemard...

Accompagné de son hamster, Ryan entra dans la pièce. Il avait envie de solitude. Frikwik lui mordillait le doigt, mais Ryan ne s'en appercevait même pas. Il s'assit sur une chaise, posa le hamster dans ses cheuveux, (le hamster disparut aussitôt tellement les cheuveux étaient longs), puis, Ryan prit une feuille, et commença à écrire. Lorsqu'il n'avait rien à faire, c'était son passe temps favori. Il se mit à écrire le début d'une poésie, pendant que la musqieu perpétuelle résonnait dans le pesant et haustère silence de la pièce.
Mais Ryan ne sentit pas une précense inconnue... Une présence broussailleuse et particulièrement desespérée... Une puissante aura qui ne parvient même pas à révéiller le sixième sens de Ryan. Fritwik, lui, l'avait senti. C'est peut être la raison pour laquelle Ryan sentit un liquide particulièrement désàgréable couler dans ses cheuveux jusqu'à la feuille.

- Fritwik, franchement, tu fais chier! T'as qu'çà à faire, sérieusement! Comme si je me lavais pas assez les cheuveux comme ça! Argh! C'est dégoûtant, et ça sent mauvais! Tu pourrais prévenir!

-Hypnosio!

Ryan s'arrêta aussitôt de bouger. Il entendait une voix résonner dans sa tête... Prend le stylo! Le stylo posé devant toi! Ryan prit le stylo, et commença à écrire ce que lui disait la voix...
Au bout de dix minutes, le papier ressemblait à ça:



Chers confrères,

Vous ne comprendrez sûrement pas ma décision, mais c'est ainsi. J'ai décidé de mourrir, parce qu'il en était ainsi. Après tout, ce n'est qu'un autre vie qui commence. Cette feuille peut aussi faire part de testament, alors voici ma décision.
Je lègue toute ma fortune ainsi que tous mes biens à mon cher ami Argus Guiry, sans regret.
Tous mes pouvoirs lui seront aussi légués, et aucune exception ne sera faite.
Adieu, et pour toujours à jmais.


La voix dans la tête résonnait plus fort que jamais. Ouvre la fenêtre qui est sur ta gauche... Ouvre là. Ryan l'ouvrit, puis, en obéissant à la voix, sauta... Pour se retrouver aussitôt dans les orties et se réveiller de sa transe.


- Aie! Mais ça fait mal! Fritwik, arrête de paniquer!


La voix qui résonna aussitôt dans la pièce était folle de rage:

- Merde! On est au rez de chaussé!

Une autre voix vint se joindre à la conversation

- QU'est-ce qui se passe ici? C'est quoi tout ce rafut?


[LIBRE][/b]